GRAND MARIN
Un film de DINARA DRUKAROVA
(INVITATIONS)
A propos
GRAND MARIN – Comédie dramatique
Un film de DINARA DRUKAROVA
Sortie en salle : 11 janvier 2023 – Durée 1h23
SYNOPSIS
Lili a tout quitté pour partir au bout du monde réaliser son rêve : pêcher sur les mers du Nord.
Elle persuade Ian, capitaine de chalutier, de lui donner sa chance et s’embarque sur le Rebel.
Solitaire et insaisissable, celle que l’on surnomme « moineau » est la seule femme de l’équipage.
Mais sous une apparente fragilité Lili est déterminée à aller jusqu’au bout de sa quête et défendre sa liberté .
Distribution
Avec :
Dinara Drukarova, Sam Louwyck, Dylan Robert, Antonythasan Jesusthasan, Björn Hlynur Haraldsson, Hjörtur Jóhann Jónsson,Magne Havard Brekke
INVITATIONS
Quelques mots de DINARA DRUKAROVA
Grand Votre premier long-métrage est inspiré du Grand Marin de l’écrivaine Catherine Poulain, pourquoi avez-vous eu envie de l’adapter ?
« Quand j’ai lu le livre qui est une histoire autobiographique sur ses années de pêche en Alaska j’ai tout de suite senti que derrière cette histoire personnelle, se tramait l’histoire universelle d’un être
C’était pour moi, l’illustration parfaite de l’expression « larguer les amarres » et prendre le large. Partir en mer pour se confronter, connaitre ses limites, aller au plus loin de soi-même.
Et pour une femme, entrer dans ce monde d’hommes dans cemonde de la pêche et se faire une place, gagner le respect des autres et lerespect de soi-même aussi. »
Le film raconte l’enrôlement de Lili, l’héroïne, sur un chalutier et sa vie au milieu des marins pêcheurs.
Comment avez-vous «infiltré» ce milieu ?
« J’ai commencé par des stages de pêche. C’est un monde difficile d’accès,la porte pour y entrer est toute petite, parce que les pêcheurs ne veulent pas de « touristes » sur leur bateau.
C’est un monde très fermé, leur travail est un travail à risque, et très physique. Enfin, c’est un monde d’hommes ;à quelques exceptions près, les femmes y sont très rares.
Un ami armateur m’a introduite auprès d’un capitaine d’un chalutier à Boulogne-sur-Mer pour faire une sortie en mer avec des pêcheurs français. J’ai passé cinq jours dans une tempête, avec le mal de mer, pensant que j’allais mourir…
Je ne pouvais pas me laver… Rien dans cet univers n’est adapté aux femmes. Pendant trois jours entiers, je suis restée dans la cale,
allongée, misérable..
Et puis un jour, le capitaine est venu me chercher. Il m’a sortie sur le pont, m’a donné à manger du riz froid. Je lui demandé pourquoi il n’était pas venu plus tôt. Il m’a répondu : « Tu voulais voir comment ça se passe, et ben voilà, t’as vu ! »
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